Lors du festival Jazzablanca 2025, une nouvelle sensation musicale a fait vibrer le public : Aïta. Cette artiste a offert une performance époustouflante qui a électrisé l’atmosphère et marqué les esprits. Son talent unique et sa présence scénique ont captivé l’auditoire, laissant une empreinte indélébile dans l’histoire de ce festival de renommée internationale.
Découvrez dans cet article comment Aïta a su conquérir le cœur des mélomanes lors de cette édition mémorable de Jazzablanca. Préparez-vous à revivre ces moments intenses grâce à la vidéo de sa performance, un véritable chef-d’œuvre musical.
Salif Keïta illumine l’ouverture du Festival Jazzablanca
Le Festival Jazzablanca a débuté en beauté avec une performance mémorable de Salif Keïta, la légende malienne de la musique mandingue. Surnommé « la voix d’or de l’Afrique », Keïta a captivé le public avec son interprétation acoustique épurée tirée de son dernier album « So Kono ».
L’artiste a également mis en lumière les liens culturels entre le Mali et le Maroc, soulignant la proximité des instruments traditionnels tels que le guembri et le n’goni. Fervent défenseur de la musique comme vecteur de paix et de cohésion sociale, Keïta a affirmé : « Là où il y a la musique, il n’y a pas de haine ».
Le duo marocain Aïta Mon Amour électrise la scène
La deuxième partie de la soirée a été marquée par l’entrée en scène du duo marocain Aïta Mon Amour, composé de Widad Mjama et Khalil Epi. Ils ont offert une performance immersive, réinterprétant de manière contemporaine et électronique la Aïta, un genre musical traditionnel marocain.
Sur la Scène 21, leur prestation, enrichie par la présence de musiciens invités, a captivé un public attentif, créant un moment suspendu entre mémoire, réinvention et innovation musicale. Cette performance a non seulement mis en valeur la diversité des expressions musicales africaines, mais a également souligné le dialogue artistique entre patrimoine et modernité.
Aménagements et performances supplémentaires au Festival Jazzablanca
Le Festival Jazzablanca, qui se poursuit jusqu’au 12 juillet, a transformé Anfa Park en un véritable havre de musique. Les organisateurs ont aménagé les lieux pour assurer un confort optimal aux participants, avec deux scènes dédiées, des zones de restauration et des espaces de détente.
En outre, le Parc de la Ligue arabe a accueilli quatre concerts gratuits dans le cadre de la 18ᵉ édition du festival, mettant en vedette Daraa Tribes, Mehdi Qamoum, Anas Chlih Quintet et Soukaina Fahsi. Ces initiatives témoignent de l’engagement du festival à offrir une expérience immersive à son public, tout en célébrant la diversité des expressions musicales africaines.



