L’Algérie se distingue sur la scène scientifique mondiale. En effet, plusieurs chercheurs algériens figurent dans le prestigieux classement de Stanford 2024, une reconnaissance internationale qui témoigne du dynamisme et de l’excellence de la recherche en Algérie. Cet article mettra en lumière ces talents algériens qui contribuent à faire avancer la science à l’échelle mondiale. Nous explorerons leurs domaines de spécialisation, leurs travaux marquants et les impacts de leurs recherches. Restez avec nous pour découvrir ces figures emblématiques de la science algérienne qui font la fierté de leur pays.
68 chercheurs algériens dans le Top 2% mondial de Stanford pour 2024
Le classement annuel Top 2% mondial de l’université américaine de Stanford pour 2024 met en lumière l’excellence de la recherche universitaire algérienne. En effet, 68 chercheurs algériens, issus de diverses universités du pays, figurent parmi les 2% de chercheurs dont les travaux sont les plus cités à l’échelle internationale. Ce classement prestigieux, qui couvre toutes les disciplines scientifiques, témoigne de la qualité et de l’impact des recherches menées par ces universitaires algériens.
Des universités algériennes et leurs chercheurs à l’honneur
Plusieurs universités algériennes sont mises en avant dans ce classement, notamment celles de M’sila, Bouira, Chlef, Blida, Béjaïa, Sidi Bel-Abbès, Oum El Bouaghi, Sétif, Annaba, Tiaret. Parmi les chercheurs distingués, on retrouve les professeurs Bouarissa, Berri, Chouder, Houssini et Maireche de l’université de M’sila, ainsi que les professeurs Kenzi et Moulay de l’université de Blida. D’autres éminents chercheurs algériens tels que Mouni Lotfi (Bouira), Bergout (Batna), Djaouadi (Tiaret), Triki (Annaba), Arras (Sétif) et Rekioua (Bejaia) figurent également dans ce palmarès mondial, confirmant la vitalité de la recherche scientifique en Algérie.
Une reconnaissance internationale pour la recherche scientifique algérienne
Cette présence notable de chercheurs algériens dans le Top 2% mondial de Stanford démontre que l’université algérienne n’est pas en reste en matière de recherche scientifique, contrairement à une idée largement répandue. C’est une première pour l’Algérie d’avoir autant de représentants dans ce classement prestigieux. Si les réussites des chercheurs algériens expatriés sont souvent mises en lumière, celles des universitaires travaillant en Algérie sont moins fréquemment soulignées. Cette reconnaissance internationale vient donc mettre en avant leur travail et leur contribution significative à la science mondiale.