Dans une affaire qui suscite l’émoi et l’indignation, un ressortissant algérien a été arrêté au Portugal, suspecté d’être impliqué dans le meurtre d’un homme âgé atteint de la maladie d’Alzheimer. Cette histoire complexe et troublante soulève de nombreuses questions sur les circonstances entourant ce crime présumé. Dans cet article, nous allons explorer les détails disponibles jusqu’à présent, tout en respectant la présomption d’innocence. Restez avec nous pour comprendre les tenants et aboutissants de cette affaire qui fait la une des médias internationaux.
Un Algérien arrêté au Portugal pour le meurtre présumé d’un octogénaire atteint d’Alzheimer
La police judiciaire de Braga, au Portugal, a récemment rendu public l’arrestation d’un ressortissant algérien. L’individu est suspecté d’avoir assassiné un homme de 85 ans souffrant de la maladie d’Alzheimer. Les faits se seraient déroulés entre le 29 novembre et le 11 décembre 2024, mais n’ont été divulgués que récemment. Plus de détails sur cette affaire seront fournis dans les paragraphes suivants.
Le plan sinistre d’un couple pour s’emparer des biens d’un octogénaire
Selon les enquêteurs, le suspect, un aide-soignant de 38 ans, et son épouse brésilienne auraient accueilli l’octogénaire dans le cadre d’un programme social destiné aux personnes âgées en difficulté. Le couple aurait alors conçu un stratagème pour détourner les actifs financiers de la victime. La disparition de l’homme a été signalée fin novembre par le suspect lui-même, qui a évoqué une « absence volontaire ». Toutefois, des incohérences dans ses déclarations ont rapidement suscité les soupçons des forces de l’ordre.
Découverte macabre et avancée de l’enquête
Après plusieurs jours d’investigations, le corps du nonagénaire a été retrouvé dans une forêt proche de Fão, à quelques encablures de son domicile. Le cadavre portait des marques de violences, attestant d’un homicide volontaire. L’épouse du suspect est actuellement en cavale, tandis que lui a été appréhendé. Par ailleurs, l’enquête a mis au jour des retraits frauduleux conséquents sur le compte bancaire de la victime, dont 2 500 euros subtilisés après sa mort. Le suspect est donc accusé d’homicide volontaire, de dissimulation de cadavre et d’abus de moyens de paiement.

