Ancien pilote d’Air Algérie dévoile les détails de son atterrissage le plus périlleux

Ancien pilote d'Air Algérie dévoile les détails de son atterrissage le plus périlleux

Dans le monde de l’aviation, chaque vol est une nouvelle aventure. Cependant, certains atterrissages restent gravés dans la mémoire des pilotes pour leur complexité et leur dangerosité. C’est le cas d’un ancien pilote d’Air Algérie qui nous dévoile aujourd’hui les détails de son atterrissage le plus périlleux. Une histoire captivante qui nous plonge au cœur de l’action, où chaque décision compte et peut faire la différence entre la vie et la mort. Préparez-vous à découvrir un récit palpitant, mêlant tension, adrénaline et expertise aéronautique.

Les défis de l’atterrissage par mauvais temps : une épreuve pour les pilotes de ligne

L’atterrissage par mauvais temps est un défi majeur pour les pilotes de ligne, nécessitant une expertise et une concentration extrêmes. Les conditions météorologiques défavorables peuvent rendre la visibilité quasi nulle et perturber le fonctionnement des instruments de bord. Mbarek Mimouni, ancien commandant de bord d’Air Algérie, en sait quelque chose. Fort de plusieurs années d’expérience dans le pilotage sous des conditions météorologiques extrêmes, il a su faire face à ces situations périlleuses avec brio.

Le vol périlleux d’Alger à Abidjan puis Bamako : une décision audacieuse

Mimouni, conscient des défis météorologiques, avait minutieusement préparé son vol. Il avait prévu un supplément de carburant pour un éventuel déroutement. Malgré une escale nécessaire à Abidjan, il décida de poursuivre immédiatement vers Bamako, bravant la nuit et les conditions climatiques extrêmes. Cette décision, bien que risquée, témoigne de sa confiance en ses compétences et de son engagement à assurer la continuité du service.

L’atterrissage réussi à Bamako : une prouesse face aux conditions extrêmes

Malgré les conditions météorologiques extrêmes, Mimouni a réussi un atterrissage à Bamako, là où Air France et la Royal Air Maroc ont échoué ce jour-là. Ces derniers ont dû être déroutés, soulignant l’importance de ne pas négliger la météo en Afrique, où les aéroports internationaux sont distants. Mimouni recommande toujours un supplément de carburant au départ d’Alger pour assurer la sécurité du vol en cas de déroutement imprévu.

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Écrit par B. Aghilès

Diplômé en langue Française , c'est la voie de la rédaction web et du journalisme qu'a choisi Aghilès pour sa carrière. Il a opté pour les thématiques suivantes : finance, économie et devise.