Le géant chinois de l’automobile, Baic, fait son entrée sur le marché algérien en lançant sa production locale. Cette nouvelle étape dans l’expansion internationale de Baic pourrait avoir des implications significatives pour l’industrie automobile algérienne et plus largement pour l’économie du pays. Dans cet article, nous allons explorer les détails de cette initiative, les modèles de voitures qui seront produits et les retombées potentielles pour l’Algérie. Restez avec nous pour découvrir ce que cette nouvelle aventure industrielle signifie pour l’avenir de l’automobile en Algérie.
Baic Beijing inaugure officiellement ses activités en Algérie
Le constructeur automobile chinois Baic Beijing a officiellement lancé ses opérations en Algérie lors d’une cérémonie organisée à Bir Mourad Raïs, Alger. Plusieurs modèles de véhicules seront disponibles à l’achat, avec une gamme de prix allant de 2 699 000 DA à 19 602 854 DA. Nouredine Seriak, directeur général de Baic Algérie, a exprimé sa fierté lors de son discours inaugural, soulignant la qualité, le sérieux et la fiabilité de la marque. Il a également invité les clients potentiels à visiter le showroom pour découvrir la gamme de produits.
La diversité des modèles de véhicules Baic Beijing en Algérie
Baic Beijing propose une variété de véhicules en Algérie, allant de la berline U5 d’entrée de gamme à 2 699 000 DA au tout-terrain de luxe BJ80 à 19 602 854 DA. La gamme comprend également la berline EU5 100% électrique, le petit Crossover X3 à partir de 2 750 000 DA, le grand Crossover X55 à partir de 4 090 000 DA et la X7 à partir de 4 970 000 DA. Une option d’achat avec une licence de moudjahid est également disponible pour ces véhicules, ajoutant une dimension supplémentaire à l’offre de Baic Beijing en Algérie.
Expansion future de Baic Algérie avec une unité d’assemblage à Batna
Baic Algérie envisage d’élargir ses opérations en relançant son usine d’assemblage de véhicules à Batna. Cette initiative est le résultat d’une coentreprise entre l’opérateur algérien Seriak Noureddine, qui détient 90% des parts, et le constructeur chinois Baic, qui possède les 10% restants. En 2018, cette usine assemblait cinq modèles de voitures avec un objectif initial de production de 30 000 unités la première année. À moyen terme, Baic Algérie prévoit d’augmenter cette capacité à 150 000 unités par an.