Un incident inhabituel a récemment eu lieu impliquant un avion d’Air Arabia Maroc. L’appareil a subi une collision avec un oiseau lors de son atterrissage, un événement qui rappelle un incident similaire survenu précédemment avec la Royal Air Maroc (RAM). Cet article se propose d’examiner ces incidents et leurs implications pour la sécurité aérienne. Nous aborderons également les mesures prises par les compagnies aériennes pour prévenir de tels accidents. Restez avec nous pour découvrir comment ces événements peuvent influencer l’avenir du transport aérien.
Incident d’Air Arabia Maroc à Tanger : collision avec un oiseau
Le 19 septembre, un incident a perturbé le vol d’un avion de la compagnie Air Arabia Maroc à l’aéroport de Tanger. L’appareil, un Airbus A320 effectuant le vol AT776 en direction de Casablanca, a subi une collision avec un oiseau lors de son décollage. Cet accident a causé des dommages mineurs à l’avion, mais a néanmoins entraîné une interruption du programme de vol pour permettre les réparations nécessaires. Les conséquences de cet incident sur les passagers et le programme de vol de la compagnie sont encore en cours d’évaluation.
Les collisions aviaires : un risque omniprésent pour l’aviation
Les collisions aviaires, ou « bird strikes », sont des incidents où un avion entre en contact avec un ou plusieurs oiseaux. Ces accidents peuvent provoquer des dégâts importants, notamment sur les moteurs qui sont particulièrement vulnérables. En effet, l’ingestion d’oiseaux peut entraîner une perte de puissance voire un arrêt complet du moteur. Les oiseaux de grande taille ou les groupes d’oiseaux représentent un danger encore plus grand. Pour prévenir ces incidents, les aéroports mettent en place diverses mesures, comme l’utilisation de radars et de dispositifs sonores ou visuels.
Incident similaire avec la Royal Air Maroc à Madrid
Dix jours avant l’incident d’Air Arabia Maroc, un avion de la Royal Air Maroc a également subi une collision aviaire à Madrid. L’appareil a été endommagé, nécessitant des réparations et perturbant le programme de vol. Bien que les dommages aient été plus importants que dans le cas d’Air Arabia Maroc, aucun blessé n’a été signalé. Ces deux incidents mettent en lumière la fréquence des collisions aviaires et leur potentiel de gravité, malgré les mesures préventives mises en place par les aéroports.