Dans une opération d’envergure, les autorités ont réussi à démanteler un important réseau de trafic de drogue à Ouargla. Cette action s’inscrit dans le cadre des efforts continus pour lutter contre la criminalité et garantir la sécurité des citoyens. Dans cet article, nous allons vous donner un aperçu de cette opération sans précédent qui a permis de mettre fin aux activités d’un groupe criminel majeur. Restez avec nous pour découvrir comment les forces de l’ordre ont réussi à infiltrer ce réseau et quelles sont les implications de cette affaire sur la lutte contre le trafic de drogue en Algérie.
La SCLTIS démantèle trois réseaux de trafic de drogue
La Section Centrale de Lutte contre le Trafic Illicite de Stupéfiants (SCLTIS) a porté un coup dur à la distribution de drogues illicites en Algérie. Trois importants réseaux de trafic ont été démantelés, avec une saisie record de près de 300 kg de kif traité d’origine étrangère. Ces opérations minutieusement orchestrées par les équipes spécialisées de la SCLTIS ont conduit à l’arrestation de six individus impliqués dans ce commerce illégal. Les substances interceptées étaient destinées à être distribuées dans différentes régions du pays.
Saisie massive de kif traité à Ouargla, Batna et Alger
Les forces de l’ordre ont réussi à intercepter une quantité importante de kif traité lors de ces opérations. À Ouargla, 189 kg de cette substance illicite étaient astucieusement dissimulés dans un véhicule de tourisme. À Batna, c’est dans une remorque de camion que 85 kg de kif traité ont été découverts. Enfin, dans un quartier de la capitale, une transaction de vente a permis de récupérer 21 kg supplémentaires. Ces saisies démontrent l’ingéniosité des trafiquants pour dissimuler leurs marchandises, mais aussi l’efficacité des services de lutte contre le trafic de stupéfiants.
Accusations et poursuites judiciaires contre les suspects
Les individus arrêtés ont été déférés devant la justice pour répondre de leurs actes. Par ailleurs, un homme dans la trentaine fait face à une accusation sévère pour avoir incendié le Musée National Islamique des Antiquités à Telemly et dérobé des pièces archéologiques. Le procureur général a requis une peine de 20 ans de prison ferme contre l’accusé. Cependant, ce dernier a contesté la condamnation initiale et a interjeté appel. Le procès en appel est en cours avec un réexamen minutieux des faits et des preuves présentées.