Dans un monde où les informations circulent à une vitesse fulgurante, il est essentiel de démêler le vrai du faux. Récemment, une rumeur a circulé selon laquelle l’Algérie aurait demandé un embargo pétrolier contre l’Occident. Cet article se propose de démystifier cette affirmation et de rétablir la vérité sur la position de l’Algérie dans le contexte géopolitique actuel. Nous allons examiner les faits, analyser les sources de cette rumeur et enfin, éclairer la réalité de la politique énergétique algérienne. Restez avec nous pour découvrir la vérité derrière cette affirmation controversée.
Le ministère algérien des Affaires étrangères dément les allégations d’embargo pétrolier contre l’Occident
Le ministère algérien des Affaires étrangères a réfuté les déclarations attribuées au président Abdelmadjid Tebboune concernant un potentiel embargo pétrolier contre l’Occident. Ces allégations, relayées par un média privé suite au sommet arabo-islamique à Ryad, ont été fermement démenties. Le discours du président, lu par le ministre des Affaires étrangères Ahmed Attaf, n’a fait aucune mention d’un tel embargo.
Clarification sur la position algérienne lors du Sommet de Riyad
Le ministère des Affaires étrangères a insisté sur le fait que les propos du président Tebboune, mal interprétés par certains médias, ne faisaient pas référence à un renouvellement de l’embargo arabe de 1973. Il a qualifié ces allégations de « sans fondement » et d’une confusion entre commentaire personnel et déclaration officielle. Le ministère a précisé que les sanctions mentionnées dans le discours visaient spécifiquement Israël pour ses actions à Gaza et dans la région.
L’Expression présente ses excuses pour une mauvaise interprétation du discours présidentiel
Le quotidien francophone L’Expression a reconnu avoir mal interprété le discours du président Tebboune lors du sommet arabo-islamique, et a présenté ses excuses à ses lecteurs. Le journal admet que son traitement de l’information n’a pas respecté l’esprit du message présidentiel. En réalité, le président a appelé à intensifier les pressions sur Israël sur les plans diplomatique, politique et économique. L’Expression avait erronément interprété ce passage comme une référence à un potentiel embargo pétrolier contre l’Occident, une affirmation que le ministère des Affaires étrangères a formellement démentie.