Dans cet article, nous allons décortiquer les discussions du président algérien Abdelmadjid Tebboune avec plusieurs figures clés de la scène internationale lors du sommet du G7. Nous nous pencherons sur ses échanges avec le prince héritier des Émirats arabes unis, Mohamed Ben Zayed, le président américain Joe Biden et le président français Emmanuel Macron. Ces rencontres ont été l’occasion d’aborder divers sujets d’intérêt commun et de renforcer les relations bilatérales. Restez avec nous pour découvrir les détails de ces discussions et comprendre leur impact sur la politique internationale.
Abdelmadjid Tebboune, président algérien, au cœur des échanges lors du sommet du G7
Le chef de l’État algérien, Abdelmadjid Tebboune, a marqué sa présence lors du sommet du G7 à Bari, en Italie, qui a débuté le 13 juin. Il a eu l’occasion d’échanger avec plusieurs dirigeants mondiaux, dont Emmanuel Macron, président français, et Joe Biden, président américain. Ces rencontres ont été l’occasion pour Tebboune de renforcer les liens diplomatiques avec ces pays. Cependant, son interaction avec Mohamed Ben Zayed, président émirati, a suscité une attention particulière, reflétant l’état actuel des relations entre l’Algérie et les Émirats arabes unis.
Rencontre remarquée entre Tebboune et Mohamed Ben Zayed
La rencontre entre Abdelmadjid Tebboune et le président émirati, Mohamed Ben Zayed, a été particulièrement remarquée. C’est la première fois depuis longtemps que les deux dirigeants se rencontrent à un tel niveau. Leur dernière participation commune remonte au forum économique de Saint-Pétersbourg en Russie, en juin 2023, où ils avaient maintenu une distance notable. Cette interaction récente met en lumière l’état actuel des relations entre l’Algérie et les Émirats arabes unis, qui traversent une période de tension non déclarée officiellement.
Accusations non déclarées et réactions émiraties
En janvier, le Haut conseil de sécurité algérien a émis des accusations voilées contre « un pays arabe frère », sans nommer explicitement les Émirats, pour des actes hostiles envers l’Algérie. Le président Tebboune a également fait allusion à la présence de fonds de cet État dans divers conflits, notamment au Mali, en Libye et au Soudan. Ces insinuations n’ont pas manqué de susciter une réaction d’Anwar Gargash, ancien ministre émirati des Affaires étrangères et actuel conseiller de MBZ, qui a exprimé son étonnement face à ces allusions non explicites.