Les étudiants algériens se sont dirigés en masse vers Campus France pour apporter la lumière à la situation qui les touche. Effectivement, ces étudiants voient leur demande de permis d’études vers le Canada refusée. Le taux d’acceptation de leur demande a considérablement baissé. Suite à cette action, ces étudiants ont obtenu gain de cause.
Un taux d’acceptation revu à la hausse
Après avoir décroché leur baccalauréat, de nombreux Algériens souhaitent poursuivre leur étude dans les pays développés comme le Canada. Pourtant, il est difficile d’obtenir le permis d’étude. Mais cela n’est plus d’actualité, car la responsable de l’immigration Canada, Isabelle Dubois, a annoncé ce lundi que le taux d’acceptation des étudiants francophones a augmenté.
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L’Algérie en fait partie, dont les chiffres sont de 14 % à 33 % actuellement. D’ailleurs, la directrice des affaires étudiantes au Cégep de l’Abitibi-Témiscamingue exprime son désir de vouloir plus d’étudiants africains dans son département en raison de leur facilité d’adaptation.
Une baisse des frais d’études
Une autre bonne nouvelle concerne les Algériens désirant étudier au Canada. Le problème qui touche les pays africains est la différence de niveau de vie. Cela implique que les frais d’études sont forcément plus élevés. Les responsables des universités ont alors annoncé qu’à partir de la rentrée de 2023, les frais d’études que les Algériens vont payer seront les mêmes que ceux payés par les Québécois.
En plus, un programme d’intégration au travail sera aussi appliqué pour que les étudiants puissent financer leur étude. Cela est à hauteur de 20 heures par semaine. L’organisation est assurée par l’organisme d’immigration.
À l’obtention de leur diplôme d’études supérieures, les Algériens peuvent rester au pays pour y travailler. Effectivement, le Canada a besoin de travailleurs dans de nombreux secteurs d’activités. Car le pays est touché par une pénurie de main-d’œuvre depuis plusieurs années.