Le COVID-19 perturbe non seulement l’enseignement, mais surtout l’économie de l’Algérie. Pour limiter considérablement la conséquence de la pandémie à tous les niveaux, l’UGCAA et l’APOCE ont déposé une requête qui pourrait changer le quotidien de la population.
Percussion réelle de la crise sur le marché
Visiblement, la pandémie bouleverse les anciennes organisations du marché en Algérie.
Face à cette situation, l’Organisation algérienne pour la protection et l’orientation des consommateurs ainsi que l’Union générale des commerçants et artisans algériens remettent en cause la « liste actualisée des produits importés, soumise à l’augmentation du DAPS ».
Un appel à la modification de la liste
Devant cette problématique, elles demandent la correction de la liste des marchandises susmentionnées qui « comprend des articles dont l’Algérie ne réalise pas d’autosuffisance ».
Elles demandent une modification en argumentant que les produits « tels que le prêt-à-porter et le textile, ne couvrent que 20% des besoins du marché, et malgré cela, la taxe appliquée est de 30 % »
Elles souhaitent également l’interruption de l’inflation du droit additionnel provisoire de sauvegarde.