L’arrivée de la célèbre chaîne de restauration rapide KFC en Algérie a suscité des réactions diverses et variées. Certains se réjouissent de pouvoir déguster les fameux poulets frits, tandis que d’autres expriment leurs inquiétudes quant à l’impact sur la culture culinaire locale. Dans cet article, nous vous proposons de découvrir les différentes réactions du public algérien face à cette nouveauté, à travers une série de vidéos captivantes. Restez avec nous pour explorer ce phénomène qui fait déjà beaucoup parler de lui.
Le premier KFC en Algérie ouvre ses portes à Dely Brahim, Alger
Après une attente palpable, le premier établissement officiel de Kentucky Fried Chicken (KFC) a finalement été inauguré à Dely Brahim, dans la capitale algérienne. L’ouverture du restaurant a suscité un vif intérêt parmi les clients impatients de savourer les plats emblématiques de cette chaîne américaine spécialisée dans le poulet frit. L’arrivée de KFC en Algérie avait été annoncée en 2023, s’inscrivant dans leur stratégie d’expansion au Maghreb et au Moyen-Orient. Le jour J a vu une affluence notable dès l’ouverture, témoignant de l’excitation générée par l’implantation de cette marque internationale sur le sol algérien.
La franchise KFC en Algérie : une expérience culinaire authentique
La franchise KFC en Algérie est gérée par le groupe libanais Azadea, garantissant ainsi l’authenticité de l’expérience culinaire. Les responsables de KFC en Algérie ont insisté sur la qualité et l’authenticité des plats proposés, conformes aux standards mondiaux de la marque. Le menu offre une variété d’options, dont la Snack Box ou le Dinner Meal. Pour donner un aperçu des tarifs, la Snack Box, qui comprend deux morceaux de poulet, des frites, une boisson et un morceau de pain, est proposée à 800 DA.
Controverse autour de l’arrivée de KFC en Algérie
L’ouverture du premier restaurant KFC en Algérie a suscité des réactions mitigées. Si certains se réjouissent de pouvoir déguster les spécialités de la célèbre chaîne américaine, d’autres appellent au boycott en solidarité avec la cause palestinienne. Sur les réseaux sociaux, des messages circulent, accusant le soutien à KFC de contribuer indirectement aux politiques américaines, notamment son appui inconditionnel à Israël. Par ailleurs, des rumeurs évoquent que certaines entreprises locales pourraient tirer profit de ce sentiment anti-KFC pour promouvoir leurs propres intérêts commerciaux.