Un événement économique de grande envergure sera accueilli dans la capitale algérienne prochainement. Il s’agit effectivement de la prochaine conférence conjointe AICESIS-OIT ou l’Assemblée générale de l’association internationale des conseils économiques et sociaux et institutions similaires, qui sera en partenariat avec l’Organisation internationale du travail (OIT). Cette décision a été prise le 28 juillet dernier à Athènes par l’assemblée générale de l’AICESIS.
AICESIS : bref Historique et objectifs
A noter que l’AICESIS a été fondée en juillet 1999 et contient en ce moment 70 membres provenant des 4 continents du monde tels que l’Afrique, l’Asie, l’Amérique latine ainsi que l’Europe. Le but de cette association internationale est de mettre en œuvre des dialogues et des échanges de bonnes stratégies et d’expériences entre ses membres constitutionnels. Sans oublier le plus important, établir des relations et des partenariats économiques dans le monde entier.
La capitale algérienne choisie pour accueillir cet événement
Il s’avère que le professeur Sidi Mohammed Bouchenak Khelladi, qui n’est autre que le président du CNESE ou du Conseil national économique, social et environnemental, et qui préside aussi l’Union des conseils économiques et sociaux arabes et institutions similaires (UCESAIS), se présente honoré par cette décision de choisir la capitale Alger pour héberger cet événement. Il a toutefois souligné qu’il assurerait à bien la concrétisation et l’organisation de cette réunion économique.
Le président du CNESE a notamment fait une rencontre avec plusieurs membres de l’Association tels que les présidents des conseils économiques et sociaux du Portugal, de Monaco, de la Russie, de la Côte d’ivoire, du Niger, de la Mauritanie ainsi que du Bénin. Il s’est aussi entretenu avec le secrétaire général de l’AICESIS ; tout cela en vue d’étudier les projections de développement de collaboration bilatérale.
Cette conférence apportera sûrement des changements positifs sur le domaine économique de l’Algérie, qui a subi, comme beaucoup d’autres pays dans le monde, des difficultés durant ces dernières années. Rappelons que la crise sanitaire du COVID n’a épargné aucun pays, et ce, humanitairement et économiquement parlant.