Maintenir la paix dans le monde est l’objectif numéro un de l’Organisation des Nations Unies, connue sous l’acronyme ONU. Dans cette optique, plusieurs branches ont été instituées aussi de cette organisation internationale, dont le conseil de la sécurité. Et force est d’admettre que ce dernier fait tout son possible afin d’encourager les États membres à être pacifique et ainsi à maintenir la sécurité mondiale.
Dernièrement, le Conseil de sécurité de l’ONU a félicité et salué l’Algérie pour les aides et le rôle qu’elle a joué dans la crise malienne. En effet, le Conseil a encouragé l’Algérie pour son rôle central et positif dans l’instauration de la paix au Mali à travers une résolution adoptée à l’unanimité.
L’Accord pour la paix et la réconciliation au Mali : approuvé par le conseil de sécurité au Mali
Comme susmentionné, le conseil de sécurité de l’ONU est la branche principalement chargée du maintien de la paix et de la sécurité. Il tient ses réunions au siège de l’ONU à New York, auxquelles les Etats membres devront être représentés en permanence afin de discuter des crises et des conflits qui peuvent surgir à tout moment.
C’était au cours d’une telle rencontre que le Conseil a adopté une résolution saluant et encourageant l’Algérie dans son rôle « central et positif » dans la crise au Mali. En effet, l’Algérie aide les parties maliennes à appliquer l’accord pour la paix et la réconciliation au sein de ce pays issu du processus d’Alger.
#Mali-Algérie-/Visite à Bamako du 1er au 3 septembre 2022 de M. Lamamra, ministre algérien des A. Étrangères. Il fera d'une pierre, 2 coups : 6 eme session du Comité de suivi du processus de paix d'Alger avec tous les acteurs et 18 eme session du comité stratégique Mali-Algérie .
— Serge Daniel (@sergedanielinfo) August 31, 2022
Le Conseil de Sécurité aide l’Algérie à la réalisation de l’Accord pour la paix et la réconciliation au Mali
En effet, le Conseil de sécurité des Nations Unies apporte son soutien à l’initiative algérien de restaurer la paix au Mali. Il a effectivement déclaré que quiconque souhaitant faire obstacle à la mise en œuvre de l’Accord sera sanctionné. Des mesures seront ainsi prises à leur encontre.