Avec la crise énergétique qui bat son plein dans l’Union européenne, ses différents pays cherchent massivement une solution. Étant donné que l’Algérie présente une source non négligeable de gaz, quelques pays européens se voient dans l’obligation de la courtiser.
Un partenariat mis en place entre l’Algérie et l’Europe
Désormais, on privilégie des investissements ainsi que des partenariats dans le domaine de l’énergie. Ceux qui sont concernés par cette collaboration, ce sont les entreprises européennes et bien sûr algériennes. C’est la raison pour laquelle un second forum d’affaires a été décidé. On y trouvera des représentants issus des ambassades de l’Union européenne qui sont accréditées en Algérie.
On aura également la participation des ministères et des institutions nationales, des associations professionnelles ainsi que des organisations patronales. À titre de rappel, la société nationale des hydrocarbures Sonatrach, a déclaré l’augmentation des livraisons de gaz dans les pays européens. Parmi lesquels, on peut compter l’Italie.
Une collaboration visant à solution le problème
La cause principale de la crise que connaît l’Europe, c’est l’inflation. Celle-ci est due à de nombreuses raisons, dont la guerre en Ukraine. Bien que la situation soit assez désastreuse au niveau de l’énergie, l’Algérie souhaite avant tout faire preuve de pragmatisme. La partie algérienne ne se précipite donc pas dans les prises de décision.
Le 10 octobre, une 4ème réunion annuelle tournant autour du dialogue énergétique est déjà en cours de préparation. Elle aura lieu au siège du ministère de l’Energie et des Mines. Le ministre Mohamed Akrab en sera le président. Il y aura également le commissaire européen à l’Energie, Kadri Simson, qui travaillera en étroite collaboration avec celui-ci. D’après un communiqué du ministère de l’Energie et des Mines, plusieurs sujets d’intérêt commun seront mis sur la table.
Entre autres, ils discuteront du meilleur moyen de développer les investissements dans l’exploration mais aussi la production des hydrocarbures. Ils y aborderont aussi des perspectives du développement de l’industrie gazière.