La Cour constitutionnelle a récemment dévoilé la liste définitive des candidats à l’élection présidentielle. Cette annonce, très attendue par les citoyens et les observateurs politiques, marque une étape cruciale dans le processus électoral. Dans cet article, nous allons vous présenter en détail ces candidats qui aspirent à diriger le pays pour les prochaines années. Restez avec nous pour découvrir leurs profils, leurs programmes et leurs ambitions pour le futur de notre nation.
La Cour constitutionnelle confirme les candidats à la présidentielle algérienne
Le 31 juillet marque une étape cruciale dans le processus électoral de l’élection présidentielle algérienne prévue pour le 7 septembre 2024, avec la confirmation définitive des candidats par la Cour constitutionnelle. Trois candidatures ont été validées par l’Autorité nationale indépendante des élections (ANIE) : celle du président sortant Abdelmadjid Tebboune, ainsi que celles d’Abdelali Hassani Cherif du Mouvement de la société pour la paix (MSP) et de Youcef Aouchiche du Front des forces socialistes (FFS). Les recours déposés par Saïda Neghza et Belkacem Sahli ont été rejetés, consolidant ainsi la liste finale des prétendants à la présidence.
Abdelmadjid Tebboune, le favori de l’élection
Abdelmadjid Tebboune, président en exercice, est considéré comme le candidat privilégié pour plusieurs raisons. Historiquement, aucun président algérien ne s’est présenté à sa propre succession sans remporter la victoire. De plus, Tebboune bénéficie du soutien des partis politiques dominants, dont le Front de libération nationale (FLN), qui ont une influence significative sur le résultat électoral. En comparaison, ses concurrents, Abdelali Hassani Cherif et Youcef Aouchiche, bien que respectivement leaders du MSP et du FFS, manquent d’expérience politique et sont moins soutenus par les grands partis, ce qui pourrait affecter leur performance électorale.
Les réussites du premier mandat de Tebboune
Le bilan du premier mandat de Tebboune est marqué par des avancées économiques et sociales significatives. Malgré la crise du Covid-19, il a réussi à redresser les indicateurs macro-économiques du pays, notamment grâce à une hausse des réserves de change et une inflation maîtrisée. Il a également mis en place des mesures sociales importantes, comme l’allocation chômage pour les jeunes. Par ailleurs, plusieurs grands projets ont été lancés sous sa présidence, contribuant au développement économique du pays. Ces réalisations lui ont valu une estimation positive de la Banque mondiale, qui a salué l’ambitieux chemin de développement emprunté par l’Algérie.