Le Maroc a été témoin d’un phénomène météorologique exceptionnel ce weekend. Des pluies torrentielles, atteignant des niveaux record, ont frappé plusieurs régions du pays, provoquant des perturbations majeures. Certaines villes ont été plus touchées que d’autres par ces précipitations hors normes. Dans cet article, nous allons vous faire découvrir les villes marocaines qui ont subi le plus l’impact de cette pluviométrie record.
Restez avec nous pour comprendre l’ampleur de ce phénomène et ses conséquences sur la vie quotidienne des habitants.
La Direction générale de la météorologie au Maroc : un suivi rigoureux des précipitations
La Direction générale de la météorologie (DGM) au Maroc effectue un travail minutieux pour recueillir les données sur les précipitations. Ces mesures, prises toutes les 24 heures, sont essentielles pour comprendre les tendances météorologiques du pays.
Par exemple, lors du dernier relevé, Imilchil dans la province de Midelt a enregistré 09 millimètres de pluie, Bouarfa 06 millimètres et Sidi Ifni seulement 01 millimètre. Jbel Ayachi (Province de Midelt) et M’diq (Province de Tétouan) ont quant à eux reçu moins d’un millimètre de pluie.
Ces informations permettent non seulement de prévoir le temps, mais aussi de planifier les activités agricoles et de gérer les ressources en eau.
Imilchil, Bouarfa et Sidi Ifni : les villes les plus arrosées ce weekend
Les données recueillies par la DGM révèlent qu’Imilchil, dans la province de Midelt, a été la ville la plus touchée avec 09 millimètres de pluie. Bouarfa suit avec 06 millimètres, tandis que Sidi Ifni a enregistré une faible quantité de 01 millimètre.
Ces précipitations, bien que modestes, ont un impact sur la vie quotidienne des habitants, notamment en termes d’agriculture et de gestion de l’eau. Par ailleurs, Jbel Ayachi (Province de Midelt) et M’diq (Province de Tétouan) ont reçu moins d’un millimètre de pluie, soulignant ainsi la variabilité des conditions météorologiques à travers le pays.
Les régions de Jbel Ayachi et M’diq : des précipitations quasi inexistantes
La situation est tout autre à Jbel Ayachi, dans la province de Midelt, et à M’diq, dans la province de Tétouan. Ces deux régions ont enregistré moins d’un millimètre de pluie, un chiffre qui souligne l’extrême sécheresse qu’elles connaissent. Cette faible quantité de précipitations est notable car elle peut avoir des conséquences importantes sur l’agriculture locale et la gestion des ressources en eau.
En effet, une telle sécheresse peut entraîner une baisse de la production agricole et une pénurie d’eau, affectant ainsi la vie quotidienne des habitants. Il est donc crucial de surveiller ces régions et de mettre en place des mesures adaptées pour faire face à cette situation.



