Le 12 septembre, Nasreddine Messaoudi, le secrétaire général de l’office interprofessionnel, a annoncé le mise au point d’un nouveau mode de production céréalière. Celui-ci a été développé en collaboration avec diverses autorités compétentes de différents secteurs.
Une réunion entre le groupe de travail intersectoriel
Les plans du pays pour l’avenir impliquent l’utilisation de différents types d’irrigation afin d’augmenter la production. Il s’agit également d’explorer les zones du sud et du nord qui disposent de méthodes d’irrigation appropriées. C’est pourquoi, au cours de la première semaine de septembre, des représentants de trois ministères : Agriculture, Industrie et Ressources hydrauliques ont tenu une réunion.
L’objectif principal de cette réunion était d’élaborer une nouvelle stratégie de mise en œuvre des méthodes liées à la production céréalière. Ceci afin de soumettre le dossier concernant cette nouvelle méthode de production au Premier ministre.
La mise en œuvre de cette nouvelle stratégie de production
Le ministre de l’Agriculture et du Développement rural a supervisé le stockage de la récolte. Sous sa direction, plusieurs points de stockage ont été ouverts, les dernières semences provenant des agriculteurs et des fermes. L’Office reçoit actuellement ces quantités définitives.
L’OAIC a fourni des semences de blé, d’orge, de pois chiches et de lentilles. Il était également responsable de l’approvisionnement en engrais. Cependant, l’autosuffisance nécessite d’envisager l’augmentation des subventions pour les engrais et les semences. C’est la raison pour laquelle le ministère prévoyait de relever le plafond de cette contribution.
Par ailleurs, le directeur de l’agriculture M. Messaoudi a noté que tous les moyens nécessaires aux labours-semailles de la saison suivante ont été mobilisés. Cela a été fait conformément aux instructions du président aux autorités locales qui ont été envoyées aux Gallois pour continuer leur supervision stratégique et importante de ces opérations.