Le monde de la digitalisation évolue à une vitesse fulgurante ces temps-ci si bien que l’accès à l’internet est devenu une priorité pour chaque pays. Concernant l’Algérie, le ministre œuvrant dans le domaine de la poste, des technologies et du numérique ainsi que des télécommunications, nous fait part d’un projet de grande envergure sur la fibre optique transsaharien. Il en a apporté quelques explications qui vont être relatées dans cet article. Ne vous éloignez pas !
La première session du CLDT ou Comité de la liaison de la dorsale transsaharienne
Cette première réunion en faveur de ce grand projet de digitalisation a été exécutée ce 24 juillet 2022 dans la capitale Alger. Cette rencontre a été dirigée par le ministre algérien de la poste et des télécommunications, quelques ministres étrangers de la TIC ou Technologies de l’information et de la communication y ont également assisté.
https://twitter.com/nadisou6965/status/1551578757777035266
L’objectif de cette réunion a été basé sur les mesures nécessaires pour accélérer la concrétisation de ce projet de fibre optique transsaharienne, d’après le ministre de la poste et des télécommunications algérien Karim Bibi Triki.
Ce principe vise notamment à développer l’économie numérique de plusieurs régions africaines en partant de l’Alger. Cela est lié avec le projet d’autoroute transsaharien afin de permettre un accès à internet durant toute la trajectoire, et ce, même dans les endroits les plus isolés.
Un projet convenablement financé
En 2017, la BAD ou la banque africaine de développement a signé le financement de ce projet de fibre optique transsaharien. Cette interconnexion entre l’Algérie, le Nigéria, le Mali, le Tchad et le Niger représente un grand enjeu économique pour ces pays signataires.
Le ministre Karim Bibi Triki a souligné que l’établissement d’une infrastructure de communication solide était l’un des points clés importants sur lequel reposait le plan d’action gouvernemental.