Dans le cadre de sa campagne présidentielle, un candidat a récemment évoqué la possibilité d’augmenter l’allocation touristique. Cette proposition, qui vise à stimuler le secteur du tourisme souvent négligé, pourrait avoir des implications significatives pour les citoyens et l’économie nationale. Cet article se propose d’examiner en détail cette promesse électorale, ses possibles retombées et les réactions qu’elle suscite. Restez avec nous pour découvrir comment cette augmentation envisagée de l’allocation touristique pourrait changer la donne dans le paysage touristique national.
Allocation touristique en Algérie : un enjeu électoral
Le montant de l’allocation touristique pour les voyageurs algériens se rendant à l’étranger est devenu un sujet brûlant dans la campagne présidentielle algérienne du 7 septembre. Youcef Aouchiche, candidat du Front des forces socialistes (FFS), a soulevé cette question lors d’un événement électoral. Depuis sa création en 1997 par la Banque d’Algérie, le montant de cette allocation, actuellement fixé à l’équivalent de 15 000 dinars algériens par an, n’a pas été revu à la hausse, malgré les appels répétés pour une augmentation.
Allocation touristique : un montant insuffisant pour les voyageurs algériens
Depuis sa mise en place par la Banque d’Algérie en 1997, l’allocation touristique n’a pas connu de hausse. Elle est actuellement fixée à 15 000 dinars algériens par an, soit environ 100 euros au taux de change officiel. Cette somme, destinée à couvrir les dépenses liées aux voyages à l’étranger, est largement insuffisante pour une seule nuit d’hôtel dans les grandes villes européennes compte tenu du taux de change actuel. Cette situation alimente le débat en Algérie sur la nécessité d’augmenter cette allocation.
Engagement de Youcef Aouchiche : une allocation touristique plus généreuse
Youcef Aouchiche, candidat du FFS à la présidence algérienne, s’engage à porter l’allocation touristique à 1.000 euros si son mandat est validé par les urnes. Il envisage également la création d’agences de change officielles sur le territoire national et l’adoption d’un taux de change plus flexible. En outre, il compte renforcer les contrôles et appliquer des sanctions sévères contre les acteurs du marché informel des devises, dans le but de réguler ce secteur.
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