L’importation de véhicules de moins de cinq ans a récemment fait l’objet d’un débat houleux au sein du gouvernement. Un amendement visant à faciliter cette pratique a été rejeté, suscitant une vague de réactions diverses. Quels sont les enjeux derrière cette décision ? Comment cela impacte-t-il le marché automobile et les consommateurs ? Cet article se propose d’explorer ces questions en profondeur. Découvrez les tenants et aboutissants de ce rejet d’amendement sur l’importation des véhicules de moins de 5 ans, un sujet qui soulève bien des interrogations.
Intenses débats à l’Assemblée nationale algérienne sur le PLF 2025 et rejet des amendements sur l’importation de voitures d’occasion
L’Assemblée nationale algérienne a été le théâtre de vifs débats autour du projet de loi des finances (PLF) pour 2025. Plus de 110 amendements ont été présentés par les députés et la commission du budget et des finances, dont une dizaine se rapportant au secteur automobile. Cependant, tous les amendements visant à autoriser l’importation de voitures d’occasion, y compris ceux concernant les véhicules de moins de cinq ans, ont été rejetés par la Commission des finances.
Impact potentiel de l’amendement sur l’importation des véhicules de moins de 5 ans
L’amendement rejeté, qui visait à élargir l’importation aux véhicules de moins de cinq ans, a suscité un grand intérêt sur les réseaux sociaux. En effet, face à une demande croissante en Algérie et une offre insuffisante, cet amendement aurait pu dynamiser le marché automobile national. Il aurait également contribué à la baisse des prix sur le marché de l’occasion, rendant ainsi les voitures plus accessibles pour les consommateurs algériens. Malheureusement, cette mesure n’a pas été retenue, au grand regret des citoyens et des acteurs du secteur.
Réactions suite au rejet des amendements et perspectives économiques pour l’Algérie
Abdelouahab Yagoubi, député des Algériens de France, a exprimé sa déception sur les réseaux sociaux suite au rejet des amendements. Parmi ceux-ci, deux auraient permis aux membres de la diaspora d’importer des voitures de moins de trois ans et de lever les restrictions sur la vente de voitures importées de moins de trois ans. Le PLF 2025 prévoit une croissance économique de 4,5% pour l’Algérie, avec une augmentation progressive du PIB jusqu’à atteindre 41.859,30 milliards de DA (308,13 milliards USD) en 2027.
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