Après une longue période de fermeture, l’hôtel Césarée à Cherchell s’apprête à rouvrir ses portes. Cette réouverture tant attendue suscite un grand intérêt et soulève de nombreuses questions. Quels sont les changements apportés ? Quelles mesures sanitaires ont été mises en place pour garantir la sécurité des clients ? Quels services seront disponibles ? Autant de questions auxquelles nous tenterons de répondre dans cet article. Suivez-nous pour découvrir tout ce qu’il faut savoir sur la réouverture de l’hôtel Césarée à Cherchell.
Rénovation et réouverture de l’hôtel Césarée à Cherchell en Algérie
Après une importante rénovation, l’hôtel Césarée, situé à Cherchell en Algérie, a récemment rouvert ses portes. Ce projet de modernisation, qui a nécessité un investissement d’environ 20 milliards de centimes, est le fruit d’un partenariat entre l’Assemblée Populaire Communale (APC) de Cherchell et la SARL Césarée Cie. Cette initiative marque une nouvelle étape dans le développement du secteur touristique de la région.
Améliorations apportées et défis restants à l’hôtel Césarée
L’hôtel Césarée, désormais doté de 31 chambres offrant une capacité totale de 71 lits, dispose également d’une salle événementielle, d’un restaurant pouvant accueillir 54 convives et d’une cafétéria. Malgré ces améliorations notables, certaines lacunes ont été soulignées par les autorités locales. En effet, l’absence d’un guide touristique, de brochures informatives pour les visiteurs et d’affichage des tarifs commerciaux sont autant de points qui nécessitent encore des ajustements.
L’hôtel Césarée : un patrimoine historique au service du tourisme régional
Érigé en 1910, l’hôtel Césarée a vécu ses heures de gloire avant l’indépendance de l’Algérie. Recommandé par le célèbre guide bleu, il a accueilli des personnalités internationales de divers horizons. Sa proximité avec le Musée archéologique de Cherchell, ouvert depuis 1908, renforce son attrait historique. La réouverture de cet établissement s’inscrit dans une stratégie plus large de la wilaya de Tipasa pour stimuler le tourisme, malgré un déficit persistant en infrastructures d’hébergement. D’autres hôtels, comme le Benaouda à Chenoua, ont également vu le jour ces dernières années.