Dans un monde où les secrets sont monnaie courante, deux anciens espions français lèvent le voile sur des aspects méconnus de l’Algérie. Leurs révélations, aussi surprenantes qu’inattendues, nous plongent dans les coulisses d’un pays complexe et fascinant. Cet article vous propose une immersion inédite dans les arcanes de l’espionnage et de la diplomatie, à travers le prisme de ces deux figures de l’ombre. Préparez-vous à découvrir l’Algérie sous un angle totalement nouveau, au gré des confidences de ces hommes qui ont fait de l’information secrète leur métier. Restez avec nous pour explorer ces révélations choc qui promettent de bouleverser votre perception de l’Algérie.
Le parcours de deux anciens officiers de la DST dans la lutte antiterroriste
Louis Caprioli et Michel Guérin, deux ex-officiers de la Direction de la Surveillance du Territoire (DST) française, ont partagé leur expérience dans le combat contre le terrorisme, avec une attention particulière portée à l’Algérie. Ces vétérans du renseignement ont occupé des postes clés au sein de la DST avant sa dissolution en 2008 et son remplacement par la Direction générale de la sécurité intérieure (DGSI). Leurs récits, publiés dans l’Express et dans un livre co-écrit, éclairent les liens étroits entre la France et l’Algérie dans ce domaine.
Les opérations marquantes de la DST en relation avec l’Algérie
En 1985, Yves Bonnet, alors à la tête de la DST, s’est rendu à Alger pour négocier la libération d’un Français captif au Liban. Cependant, la découverte d’une cache d’armes à Paris liée à George Ibrahim Abdallah, un militant révolutionnaire, a conduit à l’annulation de cet accord. Par ailleurs, avant le coup d’envoi de la Coupe du Monde 1998 en France, la DST a réussi à démanteler une cellule du Groupe islamique armé (GIA) algérien qui prévoyait des attentats pendant le tournoi. Entre fin mai et début juin 1998, 64 membres de cette cellule terroriste ont été arrêtés.
Les ex-officiers de la DST réfutent les accusations contre les services de sécurité algériens
Les années de terrorisme en Algérie ont été marquées par des allégations contre les services de sécurité algériens, souvent mal informées selon les anciens de la DST. Ils rejettent fermement l’idée que ces services aient été complices des attentats du GIA à Paris en 1995. Dans leur livre, ils abordent également la guerre d’Algérie et les réseaux du FLN en France, tout en restant discrets sur l’activité de l’OAS et d’autres groupes terroristes franco-français, domaines dans lesquels la DST était généralement tenue à l’écart.
Il suffit de cliquer sur l'image ci-dessus et de nous suivre, cela nous aidera grandement. Merci !
