L’affaire du décès tragique d’un détenu à Nador a suscité une vague d’indignation et de questionnements. Après un long silence, la direction des prisons sort enfin de l’ombre pour s’exprimer sur ce drame qui a secoué le Maroc. Quelles sont les circonstances de ce décès ? Y a-t-il eu négligence ou faute professionnelle ?
Autant de questions auxquelles nous tenterons de répondre dans cet article, en vous apportant les dernières révélations choc sur cette affaire qui continue de faire couler beaucoup d’encre. Restez connectés pour découvrir les détails de cette histoire qui a bouleversé l’opinion publique.
Éclaircissements sur le décès d’un détenu à Nador
Le récent décès d’un détenu à la prison de Nador a suscité des interrogations. L’administration pénitentiaire a tenu à clarifier les circonstances entourant ce triste événement. Le défunt, incarcéré pour trafic illégal d’alcool, souffrait d’une maladie incurable du larynx.
Malgré un suivi médical rigoureux en prison et à l’extérieur, son état s’est dégradé, nécessitant son transfert à l’hôpital provincial de Nador le 18 juillet suite à des complications respiratoires. Les allégations de décès suspect ont été fermement réfutées par l’administration, qui assure avoir fourni tous les soins nécessaires au détenu.
Le parcours médical du détenu durant son incarcération
Le détenu a bénéficié d’un suivi médical constant, tant à l’intérieur qu’à l’extérieur de la prison. Son état de santé précaire a nécessité plusieurs interventions médicales. Il a été transféré à trois reprises à l’hôpital provincial de Nador pour des soins spécifiques.
Le 17 juillet, face à l’aggravation de son état, il a été conduit au centre hospitalier universitaire Mohammed VI à Oujda pour recevoir des soins plus poussés. Malgré ces efforts, le détenu est décédé, suscitant des rumeurs sur les causes de son décès que l’administration pénitentiaire réfute catégoriquement.
La réaction de l’administration pénitentiaire face aux allégations de décès suspect
L’administration pénitentiaire a fermement démenti les allégations de certains articles suggérant un décès suspect. Elle accuse ces parties de diffuser de fausses informations pour semer le doute sur la nature du décès. L’administration insiste sur le fait que tous les détenus bénéficient des soins médicaux nécessaires et qu’en cas de décès, elle informe immédiatement le parquet compétent.
Ce dernier ordonne alors une autopsie pour déterminer les causes exactes du décès, garantissant ainsi la transparence et l’intégrité du processus.



