Le Gouvernement algérien, avec le président de la République Tebboune entreprend plusieurs stratégies afin d’éradiquer le chômage. Le but étant de diminuer le nombre de jeunes à la recherche d’emploi. L’Etat incite les jeunes à créer de l’emploi, c’est-à-dire à devenir des entrepreneurs. Dans cette optique, des privilèges leur sont attribués.
Les entrepreneurs ont tout pour réussir
Il faut souligner que les jeunes Algériens sont créatifs et qu’ils ont des idées innovantes qui pourraient aider au développement du pays. Mais par faute de moyen, ils se tournent vers le salariat ou restent chômeurs. L’Etat a déjà mis en place des dispositifs d’aides afin de soutenir et de concrétiser les projets des entrepreneurs. L’Anade et l’Angem sont des aides fournies aux jeunes souhaitant se lancer dans ce domaine. Ceux qui veulent créer une micro-entreprise peuvent également bénéficier de cette subvention.
Toutefois, le prix de location des bureaux industriels reste un frein dans la mise en place des infrastructures. Alors qu’il est impossible pour un jeune entrepreneur d’acheter un terrain. Sans local professionnel, il est également difficile d’attirer et de convaincre les investisseurs.
Pour remédier à cela, le Gouvernement fournit aux jeunes investisseurs algériens une parcelle de terrain d’une superficie variant de 150 à 500 mètres carrés. L’objectif est de créer une zone d’activité communale. Voilà une nouvelle qui encourage les jeunes à se trouver vers le monde de l’entrepreneuriat.
Le président de l’Union nationale des jeunes investisseurs déclare son enthousiasme face à cette décision du Gouvernement. Il atteste qu’actuellement, le chemin des jeunes entrepreneurs est dégagé car l’accès à l’entrepreneuriat est facilité. Ce privilège sera accessible depuis toutes les communes. Il déclare également que cette initiative n’est qu’une suite logique de la stratégie du Gouvernement pour mettre un terme au chômage.