Dans un contexte politique en pleine effervescence, le président algérien Abdelmadjid Tebboune a prêté serment, ouvrant ainsi la voie à une nouvelle ère pour l’Algérie. Cette cérémonie officielle marque non seulement le début de son mandat, mais aussi l’annonce d’un dialogue politique imminent. Quels sont les enjeux de ce dialogue ? Comment cette initiative pourrait-elle influencer le paysage politique algérien ? Cet article se propose d’explorer ces questions et bien d’autres encore, afin de vous offrir une analyse approfondie de la situation actuelle en Algérie. Restez avec nous pour découvrir les dernières actualités politiques algériennes.
Abdelmadjid Tebboune entame son second mandat présidentiel en Algérie
Le mardi 17 septembre a marqué le début du second mandat d’Abdelmadjid Tebboune à la présidence de l’Algérie. La cérémonie d’investiture, qui s’est déroulée au Palais des nations d’Alger, a vu la participation de plusieurs personnalités politiques, dont les candidats Abdelali Hassani Chérif et Youcef Aouchiche. Tebboune a été réélu avec une majorité écrasante de 84,30 % lors des élections présidentielles du 7 septembre. Il a promis d’initier un dialogue politique durant ce nouveau mandat.
Les engagements de Tebboune pour son second mandat
Dans son discours d’investiture, Abdelmadjid Tebboune a souligné son intention d’établir une « démocratie véritable » en Algérie. Il a annoncé l’instauration d’un dialogue politique ouvert avec toutes les forces vives du pays. Par ailleurs, il a promis de faire un discours annuel sur l’état de la nation devant le Parlement. Sur le plan économique et social, Tebboune s’est engagé à créer 450 000 nouveaux emplois pour les jeunes et à livrer 2 millions de logements au cours de son mandat.
Les ambitions économiques de Tebboune pour l’Algérie
Abdelmadjid Tebboune a dévoilé des objectifs économiques ambitieux pour son second mandat. Après avoir atteint un taux de croissance de 4,1% et un PIB de 280 milliards de dollars lors de son premier mandat, il vise désormais une croissance stable autour de 4%, un PIB de 400 milliards de dollars et l’autosuffisance en blé dur, orge et maïs. Il a également annoncé la réception de cinq stations de dessalement géantes d’ici la fin de l’année, renforçant ainsi les infrastructures du pays.