Un drame s’est produit à Ouarzazate, une ville marocaine connue pour ses paysages époustouflants et son patrimoine culturel riche. Un jeune garçon a tragiquement perdu la vie suite à une piqûre de scorpion. L’hôpital où il a été admis est désormais sous le feu des critiques. Cet événement soulève de nombreuses questions sur la qualité des soins médicaux dans la région. Dans cet article, nous allons explorer les circonstances de ce tragique incident et examiner les problèmes potentiels qui ont conduit à cette issue fatale.
Restez avec nous pour en savoir plus sur cette histoire déchirante et les implications qu’elle pourrait avoir pour l’avenir de la santé publique à Ouarzazate.
Un enfant succombe à une piqûre de scorpion dans un douar d’Ameznoulaoun
Dans la nuit de dimanche à lundi, un tragique incident a eu lieu dans un douar de la commune d’Ameznoulaoun. Un jeune garçon a perdu la vie suite à une piqûre de scorpion alors qu’il s’amusait devant sa maison. Malgré son transfert en urgence à l’hôpital provincial Sidi Hssain de Ouarzazate, les médecins n’ont pas pu le sauver.
Selon certaines sources, la famille aurait tenté initialement de traiter l’enfant avec des remèdes traditionnels, ce qui aurait retardé son admission à l’hôpital et aggravé son état. Cet événement tragique a suscité une grande émotion parmi les proches de la victime et les habitants de la région.
Les soins traditionnels à domicile, un facteur aggravant
La famille du jeune garçon a d’abord tenté de le soigner à domicile en utilisant des traitements traditionnels. Cette décision, bien que prise dans l’espoir de soulager rapidement l’enfant, a malheureusement retardé son transfert à l’hôpital provincial Sidi Hssain de Ouarzazate. Ce délai a contribué à l’aggravation de son état de santé.
L’usage de remèdes traditionnels face à une piqûre de scorpion peut s’avérer inefficace et même dangereux, surtout lorsque la victime est un enfant. Ce drame met en lumière l’importance de l’accès rapide aux soins médicaux professionnels en cas de morsure ou de piqûre d’animaux venimeux.
Indignation et tristesse suite au drame
La perte tragique de ce jeune garçon a provoqué une onde de choc parmi sa famille et les habitants d’Ameznoulaoun. L’indignation est palpable, alimentée par la douleur et l’incompréhension face à un drame qui aurait pu être évité. Les voisins et proches de la victime déplorent le recours tardif aux soins médicaux professionnels.
Ce tragique incident soulève des questions sur l’accès aux soins de santé dans cette région rurale et met en lumière les dangers potentiels des traitements traditionnels face à des situations d’urgence médicale. La communauté locale est en deuil et appelle à une prise de conscience pour éviter que de tels drames ne se reproduisent.



