Depuis quelques semaines, les scientifiques ont fait une découverte sur le Covid-19. Cette trouvaille pose de nouvelles interrogations chez les experts.
Les scientifiques sur leur garde
Le variant Omicron a été considéré comme étant un « variant préoccupant » par l’OMS (Organisation mondiale de la santé). Il en est de même pour le sous-variant BA.2. Il a été démontré que ce sous-variant d’Omicron fut identifiée pour la première fois en décembre 2021 en Inde et en Afrique du Sud.
Peu de temps après, il a été repéré en Suède, au Danemark et aux Philippines. Danemark est le pays le plus touché par cette nouvelle forme du variant Omicron. Les scientifiques affirment que ce type de variant a déjà été détecté en France, mais il est de faible niveau.
Les spécialistes ont, toutefois, précisé que la détection du BA.2 prend du temps. Le génome du virus doit être analysé en totalité. Ce processus requiert du temps et se révèle être plus onéreux que le test PCR. Pour le moment, une quinzaine de cas de sous-variant Omicron a été détectée en France.
BA.2 : à quel point est-il dangereux ?
Il y a quelques semaines, les scientifiques ont découvert un sous-variant d’Omicron. Ce type de variant a pris la dénomination BA.2. À l’instar du Delta, le variant Omicron a des sous-lignages présentant des mutations vis-à-vis le génome primitif.
Le ministre de la Santé de la France a déclaré dans une conférence de presse qu’à ce jour, les épidémiologistes n’ont pas encore déterminé les caractères propres du BA.2, mais il dispose certaines caractéristiques similaires à ceux du variant Omicron.
Cependant, certaines données du sous-variant ont suscité l’intérêt des scientifiques dû au fait qu’il est présent dans plusieurs pays, surtout au Danemark où le nombre de cas ne cesse d’augmenter. Ils suivent le développement et l’évolution de cette forme d’Omicron de près.