Tous les pays sont maintenant assaillis par le variant Omicron du Coronavirus. Si au début de la pandémie, presque tout le monde adoptait les mêmes mesures (fermeture des frontières, confinement, port du masque…), aujourd’hui les règles sont bien différentes pour chaque pays.
Omicron impose un changement de protocole sanitaire
Les frontières ont commencé à s’ouvrir au courant de l’année dernière, à la suite d’une baisse de la contamination après le confinement presque généralisé.
Pour chaque pays, l’arrivée des voyageurs venant de l’étranger était un risque qu’il fallait prendre, malgré le fait que le virus voyage souvent dans les compagnies aériennes. Avec l’arrivée du variant Omicron, les autorités sanitaires sont obligées de s’adapter aux circonstances.
Les Espagnols imposent de nouvelles règles
Chaque gouvernement a sa conception de la chose, sans doute à cause des différences de priorité ou de l’appréciation de la propagation de la pandémie. En Espagne, les règles semblent plus restrictives que dans certains pays.
Dès le mois prochain, le vaccin est obligatoire pour tous les arrivants de plus de douze ans. Et encore, il faut avoir eu une piqûre de rappel s’il a été fait il y a plus de neuf mois, dans le cas du Sinovac.
Si un passager a déjà été touché par la maladie, il devra fournir un certificat de vaccination avec son passeport et son billet.
Les Britanniques sont moins exigeants
Au Royaume-Uni, les mesures seront moins contraignantes, car les Algériens n’auront qu’à présenter un simple certificat de vaccination.
Bien entendu, une liste des fabricants « homologués » est sortie, où l’on y voit le Janssen et le Pfizer BioNTech, avec l’AsraZeneca et Sinopharm, entre autres.
Si certains pays ont décidé de revenir à la fermeture des frontières, d’autres n’acceptent pas la venue de passagers à partir de certains pays. Mais jusque-là, les Algériens peuvent se rendre un peu partout, dans la mesure où ils se font vacciner correctement.